Journée de solidarité (ex lundi de Pentecôte)
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SUD Education dénonce l’attaque faite contre le droit du travail par l’instauration d’une journée de travail gratuite. La création de cette journée de travail gratuite est avant tout une arme servant à la remise en cause de la réduction du temps de travail et à la culpabilisation des salariés. Elle permet d’accroître la durée du travail sans contrepartie financière.
La fédération SUD Education dépose chaque semaine un préavis de grève couvrant l’ensemble des personnels de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (enseignants et chercheurs, IATOSS et personnels éducatifs, titulaires et précaires, de droit public ou de droit privé) qui se mobiliseront contre ces heures de travail gratuit que l’on veut leur imposer sous prétexte de « journée de solidarité » (ex « journée de pentecôte ») et qui ne répondent pas aux besoins sociaux des personnes dépendantes.
Extrait du préavis fédéral concernant la journée dite de "solidarité" :
" pour refuser les heures de travail gratuit que l’on aura imposées aux personnels sous prétexte de « journée de solidarité » (ex-
« lundi de pentecôte ») et qui ne répondent pas aux besoins sociaux des personnes dépendantes. La Fédération SUD éducation
dénonce l’attaque faite contre le droit du travail par l’instauration d’une journée de travail gratuite. La création de cette journée
de travail gratuite est avant tout une arme servant à la remise en cause de la réduction du temps de travail et à la culpabilisation
des salariés. Elle permet d’accroître la durée du travail sans contrepartie financière. "